Finalement, pas de quoi s'inquiéter pour le quidam moyen... Alors qu'en parlant de tests, les chiffres sont plus "effrayants".
L'objectif du gouvernement étant de réaliser 1 millions de dépistage/semaine, les chiffres vont grimper très vite.
Dans la société où travaille mon épouse, ils font bien plus intéressant que des tests PCR; à partir d'aujourd'hui ils réalisent des tests sérologiques.
C'est, je pense, sur ce genre de test qu'il faudrait se concentrer, plutôt qu'un test qui confirme que l'on est positif ou non à l'instant T
La sérologie n'est en principe valable que si elle est positive. Si elle est négative, on peut soit être touché par le virus depuis moins de 15 jours, soit nécessiter un nouveau test pcr à l'instant T, comme tu dis. Malgré tous les discours péremptoires et affirmatifs, la bonne stratégie n'existe pas, chaque pays fait différemment, chaque scientifique contredit son confrère (concurrent en vue d'une subvention, d'un poste à responsabilité ou politique ?), et il est probable que saturés par les demandes de tests, les pouvoirs publics vont encore changer ou faire évoluer leur stratégie actuelle.
A terme, il faudra vivre avec ce virus, l'intégrer dans notre vie quotidienne, comme c'est le cas avec les autres (grippe, hépatite, sida...) jusqu'à ce qu'il s'adapte à son hôte (l'humain) ou disparaisse, ou bien que l'humain s'adapte à lui (immunité croisée...).
Tout le reste n'est que conjecture et avis plus ou moins autorisé. Comme disait Coluche, "dans les milieux autorisés, on s'autorise à penser".