Voici ma petite contribution
Cet essai est la conséquence d’un gros coup de chance.
Etape 1 : Avant-dernier salon de Genève : j’ai bien aimé la construction de cette voiture, nous (=mon beau-frère et moi) avons échangé avec les personnes du stand et laissé nos coordonnées.
Etape 2 : Idem au dernier salon, je n’ai pas pu m’y rendre, mais mon beau-frère a agît en mon nom.
Etape 3 : Invitation reçue par mail via la concession de Clermont, rdv pris pour le 28/04
Contexte de l’essai : Une demi-heure au volant, sur des petites routes autour de la concession, avec en passager le responsable commercial. Bel état d’esprit d’Alpine, qui nomme comme commercial un ancien instructeur, du vrai travail de fond. L’assistante commerciale est aussi une passionnée qui connait les boxster et cayman par cœur.
Bilan (pas facile d’être impartial…)
-direction : à la fois confortable et consistante, le toucher de route est bon sans avoir à se « battre » avec le volant.
-tenue de route : l’apport du poids réduit est formidable, les changements d’appui peuvent être dynamiques, sans roulis.
-moteur : belle poussée, plein sur une plage de régime étendue, sonorité pas désagréable.
-boite : je ne suis pas habitué des PDK, je n’ai pas de base de comparaison valable mais en mode sport, la boîte anticipait bien mes intentions.
-usage en daily : cette voiture se conduit comme un vélo, pas de problème, conso classique par rapport à un déplacoir standard.
-aspects pratiques : pas facile de partir une semaine à deux, les coffres sont plus petits que dans le boxster
-entretien : je pense que l’accessibilité moteur doit se faire par dessous
-ce pourquoi j’en aurais envie : plaisir de conduite, agilité, belle conception,
-ce qui me ferait hésiter : la contenance des coffres et, dans mon cas, le FTF (facteur de tolérance féminin, bien connu en hifi) est bien meilleur pour un cabriolet (d’où mon boxster). On sait qu’Alpine devient une marque avec un futur SUV, mais on n’a rien le droit de dire pour le cab’.
Vincent